Nous étions 15 au départ pour une promenade dans le Marais Poitevin à bord de nos canoës. Après un nombre incalculable de coups de rame, nous étions 15 au retour.
Si ce type de sortie vous intrigue, et que vous voulez en savoir plus, n’hésitez pas, rejoignez-nous.
Si ce type de sortie vous intrigue, et que vous voulez en savoir plus, n’hésitez pas, rejoignez-nous.
Christophe. (Le poids des mots, le choc des photos.)
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La suite? 😉
Le rendez-vous était fixé à 10h45 à la base nautique du Lidon, pour notre dernière sortie de la saison, dans le Marais Poitevin, mais c’est avec une demi-heure de retard que l’Amiral et son armada arrivèrent sur les lieux.
Apparemment un petit problème de repérage sur les routes du marais. Cela laissait présager le pire lorsque nous serions dans les méandres de tous ces canaux.
Heureusement pour nous, notre Amiral était accompagné d’un pilote, connaissant parfaitement les lieux. C’est donc à quinze que nous embarquâmes sur nos sept canoës biplace.
Heureusement pour nous, notre Amiral était accompagné d’un pilote, connaissant parfaitement les lieux. C’est donc à quinze que nous embarquâmes sur nos sept canoës biplace.
«Moment de pause pour exercice de calcul mental»
Et oui, 7 x 2 = 14, et le quinzième alors?
Et bien, il a navigué en kayak, le chanceux. Il faut dire que nous supposons qu’il a tout fait pour dissuader la seizième convive de venir.
Notre flottille s’élança par «l’Écluseau des Rouleaux» peu avant midi.
Nous filions bon train, lorsqu’après un peu plus d’un kilomètre (enfin pour les meilleurs, pour d’autres, c’est un peu plus), début de mutinerie. Sans crier gare, certains estomacs affamés décidèrent d’accoster pour la pause pique-nique.
Devant tant de désaccords, l’avis de l’Amiral tomba, et l’escadre repris sa route.
C’est à cet instant que commencèrent les véritables difficultés. Même si les canaux sont parfaitement rectilignes, certains sont jonchés d’embuches. Il a donc fallu slalomer entre, ronces, chardons,branchages divers et variés, orties, et autres obstacles improbables.
Pour ceux qui n’avaient pas déjà besoin de cela pour slalomer, le parcours ne fut qu’encore plus long et mouvementé. Devant tant de cacophonie aquatique, il était temps, cette fois-ci, de penser au ravitaillement des équipages.
Devant tant de désaccords, l’avis de l’Amiral tomba, et l’escadre repris sa route.
C’est à cet instant que commencèrent les véritables difficultés. Même si les canaux sont parfaitement rectilignes, certains sont jonchés d’embuches. Il a donc fallu slalomer entre, ronces, chardons,branchages divers et variés, orties, et autres obstacles improbables.
Pour ceux qui n’avaient pas déjà besoin de cela pour slalomer, le parcours ne fut qu’encore plus long et mouvementé. Devant tant de cacophonie aquatique, il était temps, cette fois-ci, de penser au ravitaillement des équipages.
Le pique-nique se déroula dans un endroit clame et ombragé et permis à chacun de reprendre les forces nécessaires pour affronter le long périple qu’ils nous restait encore à parcourir.
Ce moment de convivialité nous permis de nous retrouver autour de cakes, de Gaillac, de salades, de bières, de gâteaux, café et pousse-café. Ce fut également l’occasion de grandes discussions.
« Qu’est-ce que tu fais pour les vacances (moi je n’ai pas changé d’adresse), il fait beau, non?!, c’est sympa comme coin, etc »…
Mais le moment le plus surprenant de cette pause fut le grand-écart réalisé par la doyenne du groupe. (Comme il ne se fait pas de donner l’âge de ces dames,nous dirons seulement qu’elle a entre 82 et 84ans). Nous sommes tous restés médusés devant un tel exploit, et personne d’entre nous ne s’est senti capable de relever le défi.
Bien rassasiés et désaltérés, il était temps pour nous de reprendre notre navigation.
Bercés par la douceur des lieux, nous profitions des merveilles cachées, ici et là, par la nature. Nous nous arrêtons pour admirer un magnifique chêne, qui à lui seul devait totaliser l’âge cumulé de deux de nos équipages, qui eux-mêmes devaient cumuler l’âge du reste des équipages, et probablement de tous les occupants des embarcations que nous avons pu croiser.
Ce moment de convivialité nous permis de nous retrouver autour de cakes, de Gaillac, de salades, de bières, de gâteaux, café et pousse-café. Ce fut également l’occasion de grandes discussions.
« Qu’est-ce que tu fais pour les vacances (moi je n’ai pas changé d’adresse), il fait beau, non?!, c’est sympa comme coin, etc »…
Mais le moment le plus surprenant de cette pause fut le grand-écart réalisé par la doyenne du groupe. (Comme il ne se fait pas de donner l’âge de ces dames,nous dirons seulement qu’elle a entre 82 et 84ans). Nous sommes tous restés médusés devant un tel exploit, et personne d’entre nous ne s’est senti capable de relever le défi.
Bien rassasiés et désaltérés, il était temps pour nous de reprendre notre navigation.
Bercés par la douceur des lieux, nous profitions des merveilles cachées, ici et là, par la nature. Nous nous arrêtons pour admirer un magnifique chêne, qui à lui seul devait totaliser l’âge cumulé de deux de nos équipages, qui eux-mêmes devaient cumuler l’âge du reste des équipages, et probablement de tous les occupants des embarcations que nous avons pu croiser.
Puis, tour à tour, nous croisons, vaches, chèvres, chevaux, brebis, et même un ragondin. Et puis l’extraordinaire arriva, nous avons vu (pas pour tous malheureusement) la légendaire, mais très rare «chenille verte du marais».
Bien évidemment pour une telle rencontre, il faut avoir l’œil, et surtout avoir une maîtrise parfaite du savoir naviguer près des rives.
Chemin faisant, nous arrivons vers seize heures dans le seul village que nous avons croisé, Damvix.
Bien évidemment pour une telle rencontre, il faut avoir l’œil, et surtout avoir une maîtrise parfaite du savoir naviguer près des rives.
Chemin faisant, nous arrivons vers seize heures dans le seul village que nous avons croisé, Damvix.
« Damvix est un village touristique au cœur de la Venise verte dans le Marais poitevin, au sud de la Vendée. Situé à seulement quelques kilomètres de la côte atlantique, au centre du triangle LaRochelle – Puy du Fou – Futuroscope, il attire de nombreux touristes. Il est à peu près équidistant de 20 à25km de trois villes appartenant à trois départements différents, Fontenay-le-Comte (Vendée), Niort (Deux-Sèvres) et La Rochelle (Charente-Maritime). La commune de Damvix est située en grande partie sur la rive droite de la Sèvre niortaise. Le territoire municipal de Damvix s’étend sur 1151 hectares. L’altitude moyenne de la commune est de 3mètres, avec des niveaux fluctuants entre 0 et 10 mètres. » (Source: Wikipédia)
Nous décidons de faire une halte dans ce magnifique hameau, où quelques badauds regardent paisiblement passer les bateaux. C’est à ce moment que notre kayakiste réalise deux magnifiques esquimautages. Prestation saluée comme il se doit par les badauds soudainement sortis de leur torpeur. (Cette petite anecdote n’est là que pour illustrer la parfaite maîtrise de notre kayakiste, et qui à mon humble avis, mérite amplement sa jolie pagaie bleue, mais bien évidemment, je ne cherche à influencer personne).
Comme le temps avait défilé bien plus vite que prévu, notre amiral et son pilote étudièrent leur carte afin de raccourcir notre ballade. Nous réintégrons nos embarcations, saluons sur tribord «Le Colibert» puis empruntons le Conche de la Baronnerie.
Après quelques coups de rame, nous tournons à gauche en G7 (touché) puis à droite en H8 (coulé), et finissons par reprendre«l’Écluseau des Rouleaux» par lequel nous étions partis.
Comme le temps avait défilé bien plus vite que prévu, notre amiral et son pilote étudièrent leur carte afin de raccourcir notre ballade. Nous réintégrons nos embarcations, saluons sur tribord «Le Colibert» puis empruntons le Conche de la Baronnerie.
Après quelques coups de rame, nous tournons à gauche en G7 (touché) puis à droite en H8 (coulé), et finissons par reprendre«l’Écluseau des Rouleaux» par lequel nous étions partis.
Nous débarquons de nos embarcations, voilà, la sortie est finie.
Enfin presque, il faut sortir les canoës de l’eau, les nettoyer, les charger sur la remorque, ranger les accessoires.
Nous pouvons enfin nous changer, notre kayakiste en profite d’ailleurs pour filmer discrètement la gente féminine (les vidéos seront bientôt disponibles dans l’espace membre de notre site internet).
L’heure des au-revoir arrive, et c’est une effusion de poignées de main et de bises en se promettant tous de se retrouver à la rentrée prochaine de septembre, et c’est le cœur serré que nous reprenons chacun notre route.
